Cette fois ci, encore un épisode thématique
encore un peu intello, les gardiens de musées nous entraînent à une vraie expo de vrai art et aussi au théâtre pour un dimanche après midi ou il pleuvait sur la salle Agora.
tu t'en souviens Barbarella ?
Mammouth art
Il s’agit d’une adaptation de la pièce de Jean-Michel Ribes, Musée haut, Musée Bas.
La troupe, les “Simonins”, composée de 6 comédiens, a déjà donné ce spectacle, à Saint-Simon, à Sonnac, à Capdenac, à Lacapelle, remportant à chaque fois un franc succès auprès du public.
L’un des comédiens anime un atelier théâtre pour les enfants de Fons, le mardi à 17h20, à la salle des associations. Si on en juge d’après le plaisir que les enfants y prennent, il est probable que le spectacle des adultes soit tout à fait réjouissant !
Une petite buvette sera proposée à l’issue du spectacle, dont les bénéfices iront à l’Association des Parents d’élèves de Lissac.
N’hésitez pas à faire circuler l’info !
« la gravedad insistente » Eduardo Chillida
Du 6 avril au 7 octobre 2018 Les Abbatoirs, Toulouse
En s’inscrivant à la suite des expositions monographiques récemment dédiées à Antoni Tàpies, Daniel Spoerri ou encore Hessie, le musée s’organise thématiquement afin de mettre l’accent sur le rapport du sculpteur à l’espace et à la gravité de la matière. Conçue avec le soutien exceptionnel de la Fundación Eduardo Chillida-Pilar Belzunce, elle souligne comment l’artiste espagnol a su, des années 1950 au début des années 2000, renouveler de manière inédite l’art de la sculpture. Elle permet enfin d’approfondir le caractère résolument expérimental de son oeuvre.
Dès les années 1950, l’artiste espagnol Eduardo Chillida (1924-2002) participe au renouvellement de la sculpture. Il refuse les contraintes de la matière et décide de créer ses sculptures directement au feu, dans la forge et de refuser la duplication traditionnelle de la sculpture en bronze.
Partant de l’épopée des Peignes du vent, conçus à fleur de l’océan Atlantique à Saint-Sébastien (Espagne), l’exposition aborde l’œuvre d’Eduardo Chillida de manière thématique, notamment les quatre éléments (eau, feu, air, terre). À côté des sculptures de fer et de métal, elle réunit un ensemble d’œuvres blanches (albâtre, œuvres graphiques) et de terres cuites.
Portant sur des thématiques propres à l’artiste, telles que les limites de l’espace ou encore l’implication de l’art dans l’espace public et la nature, l’exposition met en rapport les sculptures avec une sélection d’affiches, de dessins et de gravures. Les œuvres dialoguent également avec l’architecture des Abattoirs, notamment grâce à des suspensions.