Je sais bien !!
L’intitulé du titre est absurde,
une étoile filante ne peut pas revenir parce que justement elle est filante et que sa traînée provient du fait qu’elle se désagrège dans l’atmosphère. Ce n’est pas comme une comète.
Bon alors voila, sur ce...
Nous retrouvons nos sujets du jour sous forme de hashtag cette semaine encore ils sont au nombre de 3 le #litterature #voyage #compteDauteur j’espère que vous continuerez à apprécier cette promenade dans un pays qui ( je le rapelle) n’existe pas !
Et… que vous allez continuer à être bienveillant envers ses habitants.
Au fait j’ai fait de la pub !! mais toujours pas de patreon.
A vous, troupe légère, Qui d’aile passagère par le monde volez,
Et d’un sifflant murmure
L’ombrageuse verdure
Doucement ébranlez
J’offre ces violettes, Ces lis et ces fleurettes, Et ces roses ici, Ces vermeillettes roses, Tout fraîchement écloses, Et ces œillets aussi ...
(Joachim du Bellay)
la version originale de la chanson des Cowboys Fringuants est ici
en vérité elle est bien mieux réussie que la cover ;-)
si vous voulez il y a aussi une version karaoké (oh yeah)
le blog de mon pote, avec des photos
lesvoyagesdemat.com
vous allez voir ce que c'est qu'un vrai travail de patron !
et le bouquin
La géographie française a connu dans les années 1970-80 un débat important autour de l’existence et de la qualification d’une « diagonale du vide ». Le terme, dont on ne retrouve pas l’origine exacte (Fumey, 2009), qualifie une diagonale traversant la France du sud-ouest au nord-est et caractérisée par des densités de population plus faibles qu’ailleurs. Le débat portait notamment sur l’interprétation des dynamiques sociales et économiques des espaces de faibles densités. Ces derniers sont une préoccupation ancienne : déjà en 1884, le thème du congrès de la Société des Géographes Français était la dépopulation et la stérilisation de vastes espaces (Mathieu, Duboscq, 1985). J.F. Gravier (1947) établit un lien entre peuplement et économie en considérant la répartition déséquilibrée des hommes comme un frein à l’atteinte de l’optimum économique. A partir des années 1960, dans les textes scientifiques ou les discours officiels, la problématique du désert est associée progressivement à l’exode rural, la dépopulation et la désertification (Mathieu, Duboscq, 1985). Cette position entend la désertification d’un territoire comme la destruction de sa vie sociale et la dégradation définitive de sa végétation et de ses sols. Avec le développement des théories de « seuil de sociabilité » et de « seuil irréversible de dépeuplement », la désertification prend une connotation pessimiste et alarmiste. Dans les années 1970, la gravité de la problématique s’accentue avec la fermeture des services publics dans les régions « désertées » et la dégradation des conditions de vie de ces territoires. Les politiques d’aménagement du territoire se préoccupent alors davantage des régions aux faibles densités de population. Pourtant, des chercheurs prennent position contre le discours du vide et de la désertification (Faudry, Tauveron, 1975 ; Larrère, 1976 ; Bontron, Mathieu, 1976). Ils s’opposent aux notions de désertification et de seuil de viabilité sociale, ainsi qu’au vocabulaire péjoratif et alarmiste (notamment la symptomatique expression La France du vide de R. Béteille (1981)) en préconisant l’utilisation d’un vocabulaire plus neutre.
Encore merci